Wednesday, July 25, 2007

Hope for Darfur

Stand In for Peace in Darfur
Credits
The international community’s response to the crisis in Darfur has been slow, weak, piecemeal, and wholly inadequate. By standing in for Human Rights First’s Six Part Plan for Peace in Darfur, you are joining tens of thousands of other concerned global citizens who want to see the violence in Darfur end now. Our plan identifies six elements for ending the violence in Darfur: human security, the humanitarian effort, the peace process, political will, regional security, and foundations for the future. In the coming weeks and months, we will reach out to you at key moments to support action leading to an enduring peace in Darfur. For example, we will be releasing a report this fall that examines the close and problematic relationship between China and Sudan. China’s increasing presence and expanding economic interests in Sudan give it leverage with the Sudanese government in helping ensure peace in Darfur. We will ask you to raise your voices to make specific demands on China.Stand in for the victims of mass atrocities in Darfur and help us to build a lasting peace in western Sudan.
When you sign up, you will join 34,817 others who are symbolically representing an individual victim who has been killed, harmed or displaced in Darfur. Won’t you join us in supporting a comprehensive plan for peace in Darfur?
(...).
Link,http://www.humanrightsfirst.org/international_justice/darfur/voices/index.aspx?source=flash, consultado a 25 de Julho de 2007.

Tuesday, July 24, 2007

«Conseil» ou «Commission», les droits de l'homme en otage à l'ONU

Jean-Claude Bührer, ancien correspondant du journal «Le Monde» à l'ONU, analyse le fonctionnement du nouveau Conseil et le voit surtout instrumentalisé par ses adversaires.
Auteur de «Sergio Vieira de Mello, un espoir foudroyé», Mille et une nuits, 2003 et 2004.
Paru dans Le Temps (journal Suisse) le Mardi 12 juin 2007


Va-t-on regretter la défunte Commission des droits de l'homme qui avait sombré dans le discrédit après 60 ans d'existence? Le nouveau Conseil qui lui a succédé il y a un an est loin d'avoir répondu aux attentes. A en juger par le déroulement chaotique de ses quatre premières sessions et compte tenu des obstacles encore à surmonter dans la mise en place de ses règles de fonctionnement avant l'échéance du 18 juin, c'est à se demander si le remède n'est pas pire que le mal.
Déjà le compromis adopté le 15 mars 2006 par l'Assemblée générale lors de la création du nouvel organe était en deçà du projet initial plus ambitieux de Kofi Annan, ce qui avait entraîné l'opposition des Etats-Unis qui d'ailleurs s'en tiennent toujours à l'écart. Au vu de la première donne, les dés apparaissaient d'emblée pipés: Algérie, Arabie saoudite, Azerbaïdjan, Bangladesh, Chine, Cuba, Nigeria, Pakistan, Russie et Tunisie - autant de membres du Conseil qui ne sont pas précisément des parangons de vertu dans ce domaine. Comme naguère à la Commission, marchandages et manœuvres de coulisses ont présidé à leur élection, si bien qu'un bon tiers d'entre eux sont affiliés à l'Organisation de la conférence islamique (OCI). Alors que les candidats devaient s'engager à respecter «les normes les plus élevées en matière de droits de l'homme», près de 90% des exécutions capitales en 2005 enregistrées dans le monde l'ont été dans des pays membres du nouveau Conseil, avec la Chine nettement en tête du palmarès.
Instrumentalisé dès le début par le groupe islamique (17 sièges sur 47) et d'autres pays répressifs, le Conseil n'a pas tardé à renouer avec les pires travers de feu la Commission: même indignation sélective, fixation tout aussi systématique sur Israël, obstruction récurrente sur le drame du Darfour et d'autres situations d'urgence, même travail de sape et tractations sur les procédures et mécanismes à mettre en place.
Les Etats liberticides font désormais la loi et ont obtenu ce qu'ils voulaient: ne plus être nommément montrés du doigt, à l'exception bien sûr d'Israël qui se retrouve comme naguère seul au banc des accusés. En un an, aucun autre pays n'a été mis directement en cause, ni la Chine, ni Cuba, ni la Russie, ni la Birmanie, ni le Zimbabwe, ni la Biélorussie, ni la Corée du Nord, et encore moins un quelconque régime musulman. Ainsi l'Arabie saoudite continue impunément de discriminer les femmes et de recourir aux châtiments corporels, malgré son adhésion à la Convention contre la torture. En plus de la surenchère habituelle sur le Proche-Orient et sans faire avancer d'un pouce la recherche d'une solution politique, le groupe islamique a enfourché un autre cheval de bataille, «la diffamation des religions», en faisant approuver une nouvelle résolution anti-blasphème qui ne se réfère qu'à l'islam, avec pour corollaire la limitation des droits individuels et de la liberté d'expression.
Des innovations avaient pourtant été prévues pour ne pas retomber dans les dérives du passé, comme l'examen périodique universel - un mécanisme de contrôle de tous les Etats en matière de respect des droits de l'homme. Mais c'en était trop pour les pays peu soucieux de ces droits, qui se sont empressés de mettre des bâtons dans les roues à leur convenance. Ils sont même allés plus loin en cherchant à amoindrir le statut des ONG et à supprimer les mandats des enquêteurs par pays, tout en renforçant le contrôle sur les procédures thématiques. En fait, sous l'emprise d'une majorité automatique, le nouveau Conseil est en train de vider de leur substance les principes qu'il est supposé promouvoir et défendre. Sans crier gare, on assiste à une tentative sournoise de démantèlement du système onusien des droits de l'homme patiemment mis en place au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Les victimes pourront toujours attendre.
Sergio Vieira de Mello, le haut-commissaire décédé lors de l'attentat contre le siège de l'ONU à Bagdad en 2003, était conscient des carences de la Commission mais aussi des risques d'une réforme précipitée. Pour lui, le problème était moins dans la Commission que dans l'absence de volonté politique de mettre en œuvre le cadre normatif impressionnant élaboré depuis sa création. «Mettre le doigt dans l'engrenage de la réforme, c'est faire le jeu de ceux qui veulent casser le système, disait-il. La Commission va mal, elle a besoin d'une thérapie, mais prudence pour ce qui est d'une réforme radicale et hâtive.» Les faits semblent lui donner raison. Comme si ses assassins avaient visé justement le symbole des droits de l'homme qu'il personnifiait.
Jean-Claude Bührer
Link,
http://www.prochoix.org/cgi/blog/index.php/2007/06/14/1640-conseil-ou-commission-les-droits-de-l-homme-en-otage-a-l-onu, consultado a 24 de julho de 2007

Thursday, July 12, 2007

United Nations Foundation

(...)The UN Foundation makes it easy to engage in the work of the UN. As a platform for partnering with the UN, we help corporations, foundations, governments, and individuals make a difference in the important work the UN does across a broad range of issues. Our role in these partnerships varies—from catalyst to convener, advocate to grantmaker, fiduciary to fundraising ally—but in each case, we are able to achieve an outcome that is greater than what any single actor would have accomplished working alone. These efforts are conducted in close coordination with the United Nations Fund for International Partnerships (UNFIP), our strategic counterpoint within the UN system.(...).
Multimedia: UN Foundation Television
Peace, Security & Human Rights
The UN Foundation's Peace, Security and Human Rights program promotes preventive engagement in three areas–security, well-being and justice–in an integrated effort to alleviate the root causes of conflict while seeking to avoid crises by promoting the peaceful management of the massive changes that are confronting every nation in the international system.The UN Foundation formalized its commitment to the causes of peace and human rights by launching the Program on Peace, Security and Human Rights in 1998, emphasizing conflict prevention and the promotion of human rights. While previous work in this field supported a variety of humanitarian causes, the UN Foundation tightened its focus to advance specific initiatives of the Secretary-General and the UN system that emphasize preventive action. The UN Foundation focuses its Peace, Security & Human Rights grantmaking on the following priority areas:•Conflict Prevention.•Human Rights.•Peace Building.
Click here for more detail.
Click here to see our grants
Link,http://www.unfoundation.org/programs/campaigns.asp, consultado a 12 de Julho de2007.

Wednesday, July 11, 2007

Centro das Nações Unidas no Brasil

Páginas em Português
Link,http://www.un.org/spanish/Depts/dpi/portugues/index.htm, 11 de Julho de 2007.

ORGANIZAÇÕES INTERNACIONAIS EM QUE PORTUGAL PARTICIPA

Apenas se incluem as Organizações Internacionais Intergovernamentais (OI) em que Portugal participa como membro ou com o estatuto de observador ou equivalente. (...).
Link,http://www.fd.uc.pt/CI/CEE/OI/org_int_notas.htm, consultado a 11 de Julho de 2007.

UE/Presidência: o Secretário Geral das Nações Unidas,Ban Ki-moon, saúda prioridade de Portugal a África

Número de Documento: 7270835 Lisboa, Portugal 09/07/2007 15:45
(LUSA) Temas: Política, Diplomacia, UE/Presidência
Lisboa, 09 Jul (Lusa) -
O Secretário-Geral da ONU, Ban Ki-moon, saudou hoje a prioridade atribuída por Portugal a África para a sua presidência da União Europeia e disse-se esperançado num «reforço da cooperação com a União Africana». «Aprecio muito essa opção estratégica. O relacionamento com África também está no topo da minha agenda (…) e espero que durante a presidência portuguesa seja possível estreitar a cooperação com a União Africana», declarou o secretário-geral das Nações Unidas. (...).
Timor-Leste foi outro dos assuntos abordados por Ban Ki-moon nos seus encontros em Lisboa, para «agradecer e elogiar a participação activa do governo português em Timor». Questionado sobre o futuro, o Secretário-Geral da ONU saudou «as eleições presidenciais (09 de Abril e de 09 de Maio) e legislativas (30 de Junho) bem sucedidas». «Esperamos que a União Europeia e que Portugal continuem a apoiar Timor-Leste no seu processo de reconstrução e o ajudem a ultrapassar os problemas económicos e sociais», declarou. Sobre a situação no Médio Oriente, designadamente o possível envio de uma força multinacional para os territórios palestinianos, Ban Ki-moon reiterou a necessidade de se alcançar uma solução política no âmbito dos esforços do Quarteto formado pelos Estados Unidos, Rússia, UE e ONU. «Continuamos a acreditar numa solução política no quadro do quarteto e continuamos a apoiar a liderança do presidente (Mahmud) Abbas», declarou. A situação nos territórios, onde depois de semanas de confrontos interpalestinianos o movimento radical Hamas assumiu o controlo da Faixa de Gaza e disputa a liderança com a mais moderada Fatah do presidente Mahmud Abbas, «é fonte de grande preocupação», disse Ban Ki-moon. «A ONU tem grandes responsabilidades humanitárias nos territórios. Estamos a dar assistência a 1,4 milhões de palestinianos em Gaza. Ainda temos limitações e precisamos que os pontos de passagem sejam abertos para podermos canalizar a assistência mais facilmente», (...).
Link,http://www.lusa.pt/lusaweb/user/showitem?service=284&listid=NewsList284&listpage=1&docid=7270835, consultado a 11 de Julho de 2007.

International Institute for Democracy and Electoral Assistance (International IDEA)

The International Institute for Democracy and Electoral Assistance (International IDEA) is an intergovernmental organization that supports sustainable democracy worldwide. Its objective is to strengthen democratic institutions and processes.
International IDEA acts as a catalyst for democracy building by providing knowledge resources, expertise and a platform for debate on democracy issues. It works together with policy makers, donor governments, UN organizations and agencies, regional organizations and others engaged in democracy building. (...).
International IDEA’s areas of expertise include: constitution-building processes, electoral processes, political parties, democracy and gender, and democracy assessments. The Institute offers:
Knowledge resources, in the form of expert networks, databases, handbooks and websites;
Policy proposals to provoke debate and action on democracy;
Assistance with democratic reform in response to specific national requests.(...).
Link,http://www.idea.int/about/index.cfm, consultado a 11 de Julho 2007.

Sunday, July 08, 2007

About Amnesty International

Amnesty International (AI) is a worldwide movement of people who campaign for internationally recognized human rights to be respected and protected.
AI’s vision is for every person to enjoy all of the human rights enshrined in the Universal Declaration of Human Rights and other international human rights standards.
AI’s mission is to conduct research and take action to prevent and end grave abuses of all human rights – civil, political, social, cultural and economic. From freedom of expression and association to physical and mental integrity, from protection from discrimination to the right to shelter – these rights are indivisible.
AI has 2.2 million members and supporters in more than 150 countries and territories. Funded largely by its membership and public donations, AI is independent of any government, political ideology, economic interest or religion. No funds are sought or accepted from governments for investigating and campaigning against human rights abuses.
AI is a democratic movement. Major policy decisions are taken by a two-yearly International Council made up of representatives from all national sections. The Council elects an International Executive Committee which carries out its decisions.
The Committee’s members elected for 2005-7 were Soledad García Muñoz (Argentina), Ian Gibson (Australia), Lilian Gonçalves-Ho Kang You (Netherlands, Chair from September 2006), Petri Merenlahti (Finland), Claire Paponneau (France), Vanushi Rajanayagam (New Zealand), Hanna Roberts (Sweden), and David Weissbrodt (USA). AI’s Secretary General is Irene Khan (Bangladesh). (...).

If you want to include and use any of these videos on your site, please visit http://www.youtube.com/AmnestyInternational

Homepage > Video, Audio and Photos > Video Clips

Link,http://thereport.amnesty.org/eng/Homepage, consultado a 8 de Julho de 2007.

Thursday, July 05, 2007

Inter Press Service (IPS)

Direitos Humanos

Nações Unidas: Uma nova estrutura para os Direitos Humanos

(Gustavo Capdevila)
Genebra, 21/06/2007(IPS)
O novo sistema de direitos humanos da Organização das Nações Unidas finalmente definiu seu contorno jurídico, graças ao entendimento obtido através de uma inédita aliança entre os países do Sul e a União Européia que deixou isolados Estados Unidos e Canadá. O Conselho de Direitos Humanos, criado em março de 2006 pela Assembléia Geral em substituição à desacreditada Comissão de Direitos Humanos, ganhou esta semana o arcabouço institucional que deverá permitir que cumpra sua missão de promover e proteger essas garantias fundamentais.A estrutura do novo órgão mantém, embora com variantes, alguns mecanismos da desaparecida Comissão, mas introduz certas inovações polêmicas, como a implantação de um código de conduta para os especialistas independentes que colaboram com a ONU ou a supressão dos relatores especiais para Bielorússia e Cuba. Mas a grande novidade do Conselho será a implementação de um mecanismo de exame periódico da vigência dos direitos humanos em todos os países. Este procedimento, que deverá começar a partir da próxima sessão do organismo, em setembro deste ano, ocupará gradualmente as funções dos relatores por países designados para investigar casos de abusos graves.A elaboração dos mecanismos de “edificação institucional” do sistema de direitos humanos consumiu mais de um ano de debates, e o acordo só foi possível depois de um entendimento político entre blocos regionais que tradicionalmente atuam distanciados. A delegação de Cuba descreve essa aliança ao explicar com satisfação como obteve a eliminação do mandato da especialista da ONU Christine Chanet, encarregada de acompanhar as violações de direitos humanos nesse país.O apoio do Movimento de Países Não-alinhados e de outras nações em desenvolvimento foi essencial para conseguir esse equilíbrio, disse a representação do governo cubano. “Até os países da União Européia, aliados permanentes dos Estados Unidos em suas ações contra nosso país” na antiga Comissão de Direitos Humanos “não tiveram outra opção que não a de aceitar” o fim do mandato contra Cuba, acrescenta a declaração. Os textos aprovados pelos 47 Estados integrantes do Conselho receberam comentários favoráveis desses governos e também dos países observadores. As organizações da sociedade civil demonstram cautela e, no geral, receberam com receio a criação do código de conduta. O documento aprovado por consenso “é um bom texto, sobretudo se comparado com as declarações negativas feitas por alguns Estados durante o último ano”, afirmou Adrien Claude Zoller, da ONG Genebra pelos Direitos Humanos. Entretanto, Zoller esclareceu à IPS que, “naturalmente, as organizações defensoras dos direitos humanos esperavam mais”.A Federação Internacional dos Direitos Humanos (FIDH), com sede em Paris e Genebra, disse que embora não esteja totalmente satisfeita com os resultados sente-se aliviada porque a grande maioria dos mecanismos de proteção criados pela antiga Comissão foram confirmados. Por sua vez, a ONG Human Rights Watch, com sede em Nova Yok, considerou que a eliminação dos mandatos de relatores para Bielorússia e Cuba foi negociada em troca da manutenção dos especialistas que investigam violações na Birmânia, Libéria, Burundi, República Democrática do Congo, Haiti, Coréia do Norte, Palestina, Somália e Sudão.O representante do México, Luis Alfonso de Alba, presidente do Conselho em seu primeiro ano de funcionamento, afirmou que a estrutura institucional do novo organismo melhora substancialmente o esquema da antiga Comissão. O diplomata mexicano, que na terça-feira entregou a presidência ao delegado da Romênia, Doru Costea, admitiu que para conseguir o documento final “tivemos de assumir compromissos”. Não é um texto perfeito, afirmou.A única delegação que questionou o acordo foi a do Canadá, que objetou a inscrição na ordem do dia do Conselho, como tema permanente, da questão dos territórios palestinos ocupados. Os canadenses reprovaram que, por outro lado, os mandatos sobre outros países, que possuem uma data limite e a eliminação dos relatores para Bielorússia e Cuba. Os Estados Unidos concordaram com estes argumentos. O chefe da delegação norte-americana, Warren Tichenor, afirmou que as questões referentes a Palestina, Bielorússia e Cuba criam sérias dúvidas sobre as prioridades institucionais do Conselho. Tichenor afirmou que a estrutura jurídica do órgão é imperfeita.Zoller interpretou que a representação canadense atuou dessa maneira por ter recebido instruções. É “um governo pró-Bush”, insistiu, numa referência ao presidente dos Estados Unidos, George W. Bush. O especialista de Genebra para os direitos humanos considerou que a delegação canadense já não se assemelha às enviadas por esse país à Comissão na década de 90 e começo da atual. Mudou, ressaltou. Na terça-feira os canadenses tentaram fazer o Conselho rever a decisão adotada na meia-noite do dia anterior de aprovar os textos apresentados por Alfonso de Alba.O novo presidente, Costea, colocou em votação a pretensão canadense, que foi rejeitada por 46 votos contra um, do próprio Canadá. O resultado desta consulta mostrou o entendimento alcançado entre os cinco grupos regionais, América Latina e Caribe, África, Ásia, Europa do Leste, Europa Ocidental e outros. O Canadá não obteve nenhum apoio. O fato de o governo desse país reclamar e questionar tudo novamente, depois das intensas negociações, é totalmente irresponsável, afirmou Zoller. E, certamente, não se deve culpar o embaixador canadense. Foi seu governo e provavelmente os Estados Unidos que pediram sua intervenção”, afirmou.Em sua primeira reunião do segundo ano de sessões, o Conselho aprovou a proposta do representante brasileiro, Sérgio de Abreu e Lima Florêncio, para a designação das personalidades que acompanharão Costea na mesa da presidência. A função de relator do Conselho ficou para o representante permanente do Uruguai, Alejandro Artucio, do grupo da América Latina e Caribe. Os três vice-presidentes eleitos são Mohamed-Siad Doualehof, de Djibuti, pelo grupo da África; Boudewijin Van Eenennaam, da Holanda, pelo Grupo da Europa Ocidental e outros países; e Dayan Jayathilake, do Sri Lanka, pelo grupo da Ásia. (IPS/Envolverde) (FIN/2007)
Link,http://www.ipsnews.net/
,consultado a 5 de Julho de 2007.

Wednesday, July 04, 2007

Portuguese Presidency of European Union



Link,http://www.eu2007.pt/UE/vEN/Conheca_a_UE/, consultado a 4 de Julho de 2007

Human Rights Watch (HRW)

About HRW
Human Rights Watch is dedicated to protecting the human rights of people around the world.
We stand with victims and activists to prevent discrimination, to uphold political freedom, to protect people from inhumane conduct in wartime, and to bring offenders to justice.
We investigate and expose human rights violations and hold abusers accountable.
We challenge governments and those who hold power to end abusive practices and respect international human rights law.
We enlist the public and the international community to support the cause of human rights for all.
Human Rights Watch is an independent, nongovernmental organization, supported by contributions from private individuals and foundations worldwide. It accepts no government funds, directly or indirectly.
Contribute today or view HRW's financial statements first. (...).


Human Rights Watch is working to document and end human rights abuses in Darfur. Help us continue our work. Please contribute today.

Link, http://hrw.org/, consultado a 4 de julho de 2007.

Tuesday, July 03, 2007

World Business Council for Sustainable Development (WBCSD)

The WBCSD’s Regional Network is an informal alliance some 60 CEO-led business organizations around the globe that are united by a shared commitment to providing business leadership for sustainable development (SD) in their respective countries or regions.
While the WBCSD makes the business case on the world stage, its Regional Network helps shape the sustainable development agenda at the local and regional levels. Regional partners run numerous cutting-edge initiatives to implement sustainable practices on the ground and cooperate with decision-makers in creating framework conditions for business to effectively contribute to sustainable development. They also provide a platform for companies to address supply chain issues and engage with small and medium enterprises (SMEs).
These partner organizations are mostly, but not exclusively, known as Business Councils for Sustainable Development (BCSDs) and have a membership that comprises leading local companies and subsidiaries of foreign enterprises, many of which are members of the WBCSD. ( ... ).
Link,http://www.wbcsd.org/templates/TemplateWBCSD5/layout.asp?type=p&MenuId=NjM&doOpen=1&ClickMenu=LeftMenu, consultado a 3 de Julho de 2007.

Monday, July 02, 2007

International Trade Forum



Human Rights Education Associates (HREA)

(...).Human Rights Education Associates (HREA) is an international non-governmental organisation that supports human rights learning; the training of activists and professionals; the development of educational materials and programming; and community-building through on-line technologies. (...).

Global Issues
Children's rights
Dealth penalty
Gay and lesbian rights
Humanitarian law
Human rights crisis in Darfur
Racism and xenophobia
Refugees
Rights of the disabled
Rights of the elderly
Sustainable development
Torture

Link,
http://www.hrea.org/index.php
, consultado a 2 de julho de 2007

UN Secretary-General, Ban Ki-moon, speaks in front of the bust of late High Commissioner for Human Rights, Sergio Vieira de Mello, during a homage

From left to right: Laurent and Adrian de Mello, sons of Sergio Vieira de Mello, his wife Annie de Mello, sculptor Zurab Tsereteli, listen to United Nations Secretary-General Ban Ki-moon, speaking in front of a bust of late High.Commissioner for Human Rights, Sergio Vieira de Mello, during a homage held outside the Palais Wilson, headquarters of the Office of the United Nations High Commissioner for Human Rights (OHCHR) in Geneva, Switzerland, Sunday, July 1, 2007. The bronze likeness rests upon a plinth which carries the names of Sergio Vieira de Mello and the other twenty-one colleagues who lost their lives in the bombing of UN headquarters in Iraq on 19 August 2003.
(AP Photo/KEYSTONE/Martial Trezzini).




United Nations Secretary-General, Ban Ki-moon and Annie de Mello, widow of late High Commissioner for Human Rights, Sergio Vieira de Mello, during a homage held outside the Palais Wilson, headquarters of the Office of the United Nations High Commissioner for Human Rights (OHCHR) in Geneva, Switzerland, Sunday, July 1, 2007.
(AP Photo/KEYSTONE/Martial Trezzini)

Sunday, July 01, 2007

Center for UN Reform Education

Home » Who We Are

Mission and History
Our MissionThe Center for U.N. Reform Education is an independent, non-partisan, non-profit policy research organization. Founded in 1978, the mission of the Center is to encourage, generate and sustain discussion of various specific proposals to reform and restructure the United Nations through its website; its monographs, papers and books; and its fora and conferences.
Our HistoryThe Center for U.N. Reform Education was founded in 1978 following a conference on U.N. reform at Villanova University. Over the last 28 years the Center has filled an important gap in the U.N. community by publishing cutting edge research on mid-term and long-term proposals on the reform of the United Nations system. By doing so, the Center has promoted discussion on issues including weighted voting, E-democracy, and restructuring of the U.N.'s principal organs including the Security Council and the General Assembly. Following the Secretary General's reform initiative in March 2005, the Center has expanded its research agenda to include the proposals put forward by the Secretary General. Through its website, the Center also aims to promote discussion on ways to improve the selection process of the Secretary General. The Center is associated with the Department of Public Information (DPI) at the United Nations. The Center does not take positions regarding specific proposals.
Link, http://www.centerforunreform.org/node/13, consultado a 3 de julho de 2007